Blanc nuit
Création sonore :
en collaboration avec Pierre Joseff
Diffusion 4.1, enceintes à vibration
07’,52,00
diffusée en boucle,
Enregistrement studio et MAO
Voix Marion Farcy
Au départ, il y a un texte, un texte déconstruit par le montage sonore.
Par la voix de la comédienne, on accède à une présence physique proche de celle d’une captation de performance.
L’enregistrement en studio est rediffusé et ré-enregistré dans différents espaces (dans une maison, à l’extérieur...) ce qui ajoute différents rapports de distance et d’écho et met en parallèle plusieurs temps d’une même durée.
Il se construit d’impressions d’espaces qui incluent l’écouteur, ses sensations (de l’humide, un blanc nuit), ses impressions (voir, l’iris pâle, le vertige...) et sa présence physique (lui, solitude parfaite, ce que tu es, là). Ne se dessine que des paysages vides de présences certaines : toutes ces places, il n’y a jamais personne, la plage demeure endormie.